dimanche 15 juillet 2012

« "Politiquement incorrect", et fier de l'être ! »

Marseille, le 15 juillet 2012

Courriel :
xxxxx@neuf.fr

Objet : « "Politiquement incorrect", et fier de l'être ! »

Monsieur Raphaël Enthoven
France Culture
116, avenue du Président Kennedy
75016 Paris
Lettre suivie : 1K 003 518 2615 1

Monsieur,

Je ne peux laisser passer sans réagir très vivement votre diatribe du 10 courant sur France Culture, d’autant plus qu’elle est à la limite de la haine, comme chacun peut en juger au seul vu des injures proférées contre les porte-parole du "politiquement incorrect ".
Je m’honore néanmoins d’en faire partie, comme en témoignent les quelques cinq cents lettres adressées, sur plus d’une dizaine années, à environ deux cents soi-disant "élites" de l’époque, tous milieux confondus [Médias de toutes tendances, politiciens de tous bords, intelligentsia (prétendus intellectuels ou pseudo-philosophes) et associations droits-de l’hommiste moralisatrices à sens unique], qui font mensongèrement l’opinion, mais sans jamais avoir l’honnêteté ni le courage intellectuels de débattre sur le fond.

Cette correspondance m’a ainsi permis d’établir la lâcheté, la malhonnêteté et la débilité intellectuelles des faiseurs d’opinion d’aujourd’hui, puisqu’ils concourent  à façonner une pensée politiquement correcte, Unique, même si vous niez sa réalité.

Toutefois, comme je n’entends pas répondre point par point aux arguments de votre chronique volant a contrario au secours du politiquement correct, vous trouverez mon argumentation intellectuellement et philosophiquement étayée dans le texte annexé, « Vérité éternelle absolue versus mensonges et lâcheté des élites du XXIe siècle ».

Il ne vous sera donc pas interdit de démontrer la fausseté éventuelle de mes affirmations sur des points très précis de désaccord, ainsi que je l’attends vainement des élites depuis de très nombreuses années, puisque même le quotidien Le Monde a officiellement jeté l’éponge devant moi, le 26 janvier 2004, ce qui ne m’empêche nullement de continuer à dénoncer ses mensonges et ses croyances au miracle fondés sur le conformisme de l’époque, et précisément en matière de morale.

Pour le dire brièvement, la pensée unique de notre époque tout aussi obscurantiste que celles qui l’ont précédée, au cours des siècles et des millénaires, se fonde sur le penser superstitieux humain, tel qu’il se manifeste dans les divers modes d’expression suivants : religion, toutes les religions sans exception (monothéistes ou non), métaphysique matérialiste, ou scientisme, métaphysique idéaliste, ou pseudo-spiritualisme des Descartes, Kant et autres philosopheurs, idéologie, toutes idéologies confondues, et moralisme [Morale et condamnations moralisatrices des Autres au nom de LA Morale : LAQUELLE ? !], tous catéchismes réunis, y compris le catéchisme soi-disant universel contemporain, ou Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, dont seule l’inobservation est réellement universelle – sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire à l’aune du devenir du monde, depuis plus de six décennies !

D’ici-là, le penser superstitieux sous toutes ses formes continuera à se caractériser fondamentalement par l’ «absolutisation fictive du relatif». Ce procédé intellectuellement malhonnête consiste à présenter mensongèrement comme absolu, comme étant LA Vérité ou réalité absolue, le contenu seulement relatif pensé dans et sur (à propos de) notre monde pour le plus grand profit (financier, électoral ou autre) des faiseurs d’opinion du jour, comme l’illustre l’élection du nouveau président de la République, dont je n’ai eu de cesse de dénoncer vainement les mensonges et les « croyances au miracle », depuis le 6 octobre 2000.

Pour l’attester, il me suffit de rappeler seulement les lettres adressées à François Hollande au cours des douze derniers mois, lettres toujours sans réponse jusqu’ici mais encore à votre disposition :

Primaire socialiste : « François Hollande disqualifié ! » [Fax du 27 septembre 2011]

François Hollande, J’ACCUSE : « Arrêtez de mentir et de tromper l’opinion ! » [Fax du 28 octobre 2011]

François Hollande, pour mémoire et information: « Débilité intellectuelle de l’époque, lâcheté et malhonnêteté de ses élites ! » [Fax du 20 décembre 2011]
François Hollande, pour information: « Le "coup de la finance", les mensonges, les incohérences et autre "méthode Coué" du candidat Hollande ! » [Fax du 21 février 2012]

« Et le combat de LA Vérité visant les candidats de la Présidentielle 2012 cessa faute de combattants ! » (Version collective personnalisée) [Fax du 12 mars 2012]

François Hollande, J’ACCUSE : « Lâcheté, malhonnêteté et débilité intellectuelles d’un éventuel président normal ! » [Fax du 25 avril 2012]

Toutefois, mes accusations de mensonges envers François Hollande et le Parti socialiste n’ont pas cessé pour autant après le 6 mai 2012, comme en témoignent les lettres suivantes :

François Hollande et PS, J’ACCUSE : « De la trahison de Jaurès au "casse du siècle" de la  Présidentielle 2012 ! » [Fax du 17 mai 2012 au Parti socialiste]

P S, J’ACCUSE : « Après la présidentielle, les "mensonges" continuent ! » [Fax du 2 juin 2012]
Je ne peux manquer d’y associer la complicité des quotidiens Le Monde et Le Figaro, comme en témoigne le courrier suivant, dont le but était d’informer objectivement l’opinion, avant les deux scrutins nationaux qui l’attendaient.
Néanmoins, Le Monde a préféré ignorer mes lettres des 15 janvier et 30 avril 2012, qui avaient respectivement pour objet, Le Monde, J'ACCUSE (énième !) : «François Hollande, un président "normal" ? !» ainsi que Le Monde, J'ACCUSE (énième+1!), «Complicité de lâcheté, malhonnêteté et débilité intellectuelles avec un éventuel président normal ! », et Le Figaro a également reçu, mais sans en faire état, nombre de fax ainsi que ma récapitulation générale du 5 avril dernier, dont tous avaient pour intitulé commun, « Le charlatan Hollande et le grand mensonge électoral ! », les deux quotidiens se compromettant ainsi sciemment dans la tromperie de l’opinion par leur refus de débattre sur le fond.

Ce faisant, les faiseurs d’opinion ont forcément toujours raison, mais ils n’en trompent pas moins sciemment l’opinion, et en particulier le camp de gauche dans sa prétention à incarner le Bien absolu, évidemment ! De la sorte, ils pensent ce qu’ils croient que le bon peuple doit penser, comme il en va concrètement à propos de l’islamophobie, par exemple, où ils confondent la légitime critique de la religion, dans une république laïque, avec des attaques personnelles contre les fidèles, sans jamais remettre pour autant en question les dogmes et les pratiques quotidiennes contraires aux droits de l’homme (charia, fatwa, djihad) d’une religion, dont Spinoza a pu écrire librement, il y a plus de trois siècles, dans sa lettre à Albert Burgh, prêtre catholique :

« Je reconnais tout l’avantage de l'ordre politique qu’instaure l’Église romaine et que vous louez tant ; je n’en connaîtrais pas de plus apte à duper la foule et à dominer les âmes s’il n’existait l’Église musulmane qui, de ce point de vue, l’emporte de loin sur toutes les autres ; depuis l’origine de cette superstition, aucun schisme en effet ne s’est déclaré dans cette Église. »

Ite missa est, comme un « vrai » philosophe ne devrait pas l’ignorer et a fortiori l’utiliser pour faire culpabiliser ses contemporains, au point d’influer sur le résultat du principal scrutin national pour le seul profit des tenants du Bien, forcément à gauche - sauf encore à vous-même ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire au vu de leurs comportements publics ou privés !

J’attends d’autant plus sereinement votre éventuelle démonstration contraire qu’il n’y a ni Bien ni Mal absolus dans notre monde où tout est relatif, comme l’établit ce mot de Spinoza :

« Nous ne désirons pas une chose, parce qu’elle est bonne (bonne "en soi", ou absolument bonne), c’est parce que nous la désirons que nous la jugeons bonne. », comme un « vrai » philosophe ne devrait pas davantage l’ignorer ou en douter !

Sauf à vous-même, évidemment, d’établir le contraire, le camp du Bien avec ses prétendus « vertueux », donneurs de leçons de morale aux Autres, se trouve pris, une fois de plus, dans ses contradictions fondées sur l’ignorance, comme il en va de la fable des bons et des mauvais, dénoncée sans ambiguïté par l’un des grands diseurs universels de LA Vérité éternelle absolue, laissant ainsi supposer que vous avez deux mille ans de retard sur sa Parole de vérité.

En réalité, il n’y a pas - par nature - les bons et les mauvais, les gentils et les méchants, les « vertueux » et les « salauds », il n’y a que des individus et des groupes d’individus égoïstes, tous sans aucune exception (inconscients et hypocrites inclus), comme chacun le manifeste au quotidien dans ses affaires d’amour, de possession et de gloire ou honneur-vanité.

Ainsi votre bonne conscience relève-t-elle seulement de la croyance et de l’autocensure, puisqu’il est inconcevable de contester ce qu’il est de bon ton de penser, dixit Robert Ménard, et vous tombez ainsi dans les tabous et le conformisme qui caractérisent précisément le politiquement correct – cette hypocrisie de la bien-pensance, en somme !

Je m’en tiens-là, toutefois, dans l’éventualité de votre réponse contraire intellectuellement et philosophiquement étayée, à défaut de quoi vous manifesteriez votre intention délibérée de continuer à fonctionner sur le seul penser superstitieux, donc à tromper sciemment l’opinion, en colportant les sempiternels mensonges et « croyances au miracle » de notre monde.

Je vous remercie de votre attention et vous prie d’agréer, Monsieur, mes salutations philosophiques, laïques et  républicaines, sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire.

Annexe : Texte, Vérité éternelle absolue versus mensonges et lâcheté des élites du XXIe siècle








jeudi 5 juillet 2012

VÉRITÉ éternelle absolue versus mensonges et lâcheté des élites du XXIe siècle [FIN]


[SUITE III]
C'est pourtant en vertu de ce dualisme que les soi-disant élites nommément dénoncées participent sciemment à la tromperie généralisée de l'opinion, malgré les nombreuses mises en garde contre l'« absolutisation du relatif», ce péché capital de notre entendement humain, à l'origine de tous les mensonges du monde - en effet, si « deux » vérités absolues coexistaient absolument,aucune des deux ne saurait être LA Vérité absolument absolue !

Tous ceux que je dénonce sont pourtant très lucides et apparemment à comprendre ce discours de Vérité, mais ils n’en persistent pas moins dans leur escroquerie intellectuelle, dans la mystification, malgré le courrier adressé nommément pour les inviter à débattre et à renoncer éventuellement à leurs dogmes de toutes sortes, et c’est ainsi qu’ils peuvent continuer à propager leur « prêt à penser » superstitieux pour tromper sciemment l'opinion. Ils ont seulement raison, en effet, parce qu’ils refusent le véritable débat d’idées, et qu’ils ont peur d’affronter leurs détracteurs.

Le véritable débat d’idées ne consiste pas à opposer, à l’infini, des points de vue relatifs partisans à d’autres tout aussi relatifs et partisans, mais à les confronter, TOUS sans exception, à LA Vérité éternelle absolue, laquelle suffit à tous les invalider dans leur prétention à dire l’Absolu ou à parler au nom de l’Idéal. Alors, que tous ces faiseurs d’opinion publique montrent, voire démontrent, que leurs dogmes religieux, métaphysiques, idéologiques, moralistes, voire moralisateursont une quelconque réalité absolue !

Sur le plan de la superstition idéologique, en particulier, leur commune impossibilité absolue de relever le défi que je lance à tous les penseurs, « politiques » et autres du monde entier, à propos de leur « croyance au miracle » de l’avènement d’un monde « parfait » avec des humains « imparfaits », est la preuve incontestable qu’ils trompent l’opinion !

Quoique dûment prévenus de ne jamais pouvoir transposer l’idéal dans la réalité quotidienne, ils sont contraints par leurs intérêts égoïstes les plus divers à le faire croire, mais ils demeurent incapables de s’élever au-dessus de leurs prises de position partisanes et d'aller au-delà de toutes les opinions relatives de l’époque pour se libérer de leur penser superstitieux anthropomorphe.

De plus, en raison de leur superstitieuse croyance en un Bien et un Mal prétendument absolus, tous ces « donneurs de leçons de morale » à la planète entière prennent un malin plaisir intéressé à faire culpabiliserles Autres.

QUI ou QUOI a donc investi en juges suprêmes sur Terre tous ces « censeurs autoproclamés », chiens ou chiennes de garde du moralisme, et autres gendarmes de la pensée unique « politiquement correcte », néanmoins mensongère avec son Bien et son Mal prétendument absolus et sa division artificielle des humains en bons et en méchants, tellement pratiques, voire juteux, pour condamner moralement les Autres ? 

Dans leurs condamnationsmoralisatrices à sens unique se prennent-ils donc réellement pour le Dieu superstitieux de la religion et du pseudo- spiritualisme kantien, par ailleurs beaucoup plus indulgent qu’eux, puisque n’attendant rien de son supposé « Jugement dernier », alors que les « vertueux moralisateurs » de l’époque, et de toutes les époques, en attendent des retombées « juteuses », à maints égards, financièrement et électoralement en particulier ?

Pour cela,  ils vont même aujourd’hui jusqu’à faire culpabiliser les Autres en volant au secours d’une religion, dont Spinoza déclarait déjà - en raciste bien connu ! -, il y a plus de trois siècles :

« Je reconnais tout l’avantage de l’ordre politique qu’instaure l’Église romaine et que vous louez tant ; je n’en connaitrais pas de plus apte à duper la foule et à dominer les âmes s’il n’existait l’Église musulmane qui, de ce point de vue, l’emporte de loin sur toutes les autres ; depuis l’origine de cette superstition, aucun schisme en effet ne s’est déclaré dans cette Église. » [Spinoza, Correspondance, Lettre LXXVI à Albert Burgh]

Pourtant tous ces censeurs autoproclamés, donneurs de leçons de morale aux Autres, n’ont-ils jamais menti, triché, fraudé, magouillé, manqué à leur parole, voire volé – fut-ce un seul franc ou euro à l’Etat ! -, calomnié, trahi, discriminé – ne serait-ce qu’en parole, à l’exemple des vertueux Jacques Chirac et Lionel Jospin en leur temps ! -, etc., etc. ?

En vérité, TOUS humains confondus, Blancs, Noirs, Jaunes, Rouges, Arabes, Juifs et autres races, chrétiens, musulmans, juifs, athées, vieux ou jeunes, hommes ou femmes, hétérosexuels ou homosexuels, citoyens de droite ou de gauche, riches ou pauvres, beaux ou laids, valides ou non, bien-portants ou malades, etc., face à l’Idéal,nous sommes TOUS coupables, coupables de crime de lèse-Idéal – surtout en matière de Vérité, précisément !

RIEN ne légitime donc leurs condamnations moralisatrices des « Autres » au nom de LA Morale, puisqu’il n’y a pas, il n’y a jamais eu et il n’y aura jamaisd’individus ni de groupes d’individus, TOUS critères d’appartenance confondus, réellement « IRRÉPROCHABLES » ! « IL » nous l’avait pourtant clairement dit, voilà bientôt deux mille ans, mais leurs intérêts égoïstes continuent à étouffer sa Parole de Vérité !

La Vérité éternelle absolue se trouve au-delà de notre relativité humaine et de l’infinité des relativités infinies. Elle traverse les millénaires ainsi que les multiples cultures et civilisations en faisant fi de notre anthropomorphisme, notre manière relative spécifique humaine de saisir le Un absolu ou Substance de Spinoza : CE QUI EST de toute éternité ! Mais, c'est tellement bénéfique pour les « menteurs » et autres censeurs de jouer les marchands de rêve au lieu d’éclairer l’opinion pour la conduire vers l’idée mystico-philosophique ultime du penser spirituel ou penser de l'Esprit «véritable» qui n’est pas le Saint-Esprit !

ILS ONT PEUR DE LA VÉRITÉ ABSOLUE ! ILS ONT PEUR DU VÉRITABLE DÉBAT D’IDÉES ! ILS SONT NOS PHARISIENS ET NOS MARCHANDS DU TEMPLE CONTEMPORAINS !

Cependant l’Histoire et l’actualité du monde montrent que LA Vérité éternelle absolue finit toujours par rattraper les vendeurs d’illusions de toutes sortes, comme Marx en a apporté la preuve post-mortem… et tant d’autres de leur vivant !

Comme en témoigne ma correspondance, ma seule démarche a toujours été de mettre ces menteurs par procuration face à leur immense responsabilité en raison de leur grande influence sur l’opinion. Toutefois, aucun n’a eu le courage intellectuel de s’engager jusqu'ici dans le seul et unique « véritable » débat d'idées, dont je rappelle qu’il ne consiste pas à opposer « à l’infini » - sans jamais connaître d' « arrêt » ! - des points de vue « relatifs partisans » à d’autres tout aussi relatifs et partisans, mais à les confronter,TOUS sans exception, à La Vérité éternelleabsolue qui suffit à tous les invalider définitivement dans leur prétention à dire l’absolu.

ELLE seule, en effet, est en mesure de mettre un terme définitif, un arrêt indépassable à notre penser « relatif », à notre penser du monde humain « relatif », ainsi qu’à toute contradiction ou incohérence, source de toutes les pratiques du « deux poids, deux mesures ». Le « Vrai », en effet, peut-il être absolument vrai, dès lors qu’il comporte une seule contradiction, ou lorsqu’une vérité relative s’oppose à une autre ?

C‘est pourquoi le silence et le refus de débattre des « élites » du monde de l’information, de la politique, de l’intelligentsia et des associations « droits-de-l’hommiste » m’autorisent à dénoncer leur lâcheté intellectuelle, la «lâcheté des élites», ces soi-disant « élites » qui affirment mensongèrementdu haut de leur «principe d’autorité» sans réel fondement, hormis l’assise superstitieuse de prétendus intellectuels et de pseudo-philosophes servant aux « dominants » à légitimer leur «pouvoir» religieux, politique, moralisateur, scientifique, médical, etc., conforté aujourd’hui par les puissances médiatico- financières qui « font l’opinion ».

Tout le courrier mentionné précisant ce qu’il faut entendre par « mensonges du monde » est à la disposition de quiconque - JUSTICE incluse ! Le fil conducteur de cette correspondance est un hommage et un témoignage de reconnaissance au philosophe juif allemand, Constantin Brunner (1862-1937), héritier spirituel de Socrate, Platon, Giordano Bruno, Spinoza et du Christ, entre autres.

L’œuvre entière de Brunner atteste sa lutte incessante contre la Superstition, qu’il a combattue par une présentation créatrice originale de LAVÉRITÉ éternelleabsolue,dont les menteurs ne veulent pas entendre parler - et a fortiori débattre ! -, car elle est trop préjudiciable à leurs intérêts égoïstes de toutes sortes.

Ceci suffit à faire l'unanimité contre elle et à expliquer pourquoi sa voix est bâillonnée aujourd'hui comme hier, et le sera encore demain, ainsi que la conspiration du silence, illustrée par ce large éventail des prétendues « élites » de l’époque, en annonce l’augure.

Forcément, plus ces « vertueux » faiseurs d’opinion accepteraient de débattre, plus ils seraient contraints de reconnaître leurs « mensonges » ! ! !

Modifié le 2 juillet 2012